Pompe à chaleur géothermique

Alors que l’aérothermie prends l’énergie de l’air, la géothermie récupère les calories présentes certainement dans le sol. Celles-ci sont prélevées dans votre terrain grâce à des capteurs souterrains, alors reliées au logement via une pompe à chaleur. Avec le chauffage des demeures individuelles, on parle de « géothermie très basse énergie », c’est-à-dire saisissant des moyens dont la température est inférieure ou égale à 30°C. Il se découle tout simplement de calories stockées par le sol et qui découlent du soleil puis des eaux de pluie.

L’évolution concret de la pompe à chaleur géothermique

Le circuit du système de d’interception d’une pompe à chaleur géothermique est traversé par un fluide caloporteur. Ce fluide, composé régulièrement d’eau glycolée pour d’éviter le gel, reçoit les calories du sol de les révéler à la pompe à chaleur. Cette ultime emploie un fluide frigorigène pour communiquer les calories récupérées dans le sol à l’eau du système de chauffage. Ce fonctionnement se compose de quatre phases :

1. Le fluide frigorigène, à l’état liquide, récupère les calories divulguées par le sol via le liquide caloporteur. La température du fluide s’amplifie grâce à l’énergie saisie. Le fluide se change alors en gaz, il s’y pulvérise ;
2. Le compresseur, alimenté par un moteur électrique, absorbe et compresse après le fluide frigorigène. A la fin de cette phase, le fluide gazeux est chaud et sous grande pression ;
3. La condensation du fluide frigorigène, ainsi à l’état de vapeur haute pression permet en même temps que transmettre la chaleur à l’eau de chauffage. Le gaz affûte à l’état liquide ;
4. Le détendeur fait chuter la pression du fluide frigorigène et installe le fluide liquide avant la phase d’évaporation.
Pompe à chaleur géothermique : des capteurs à construire dans votre sol

La source de la pompe à chaleur géothermique étant de capter l’énergie contenue dans le sol, il faut procéder des travaux de forage ou de terrassement pour mettre les capteurs, ce qui agrandit le coût élevé de ce système.

Il existe trois conclusions d’interception distinctes :

• L’interception horizontal consiste à enterrer des tubes entre 0,60 et 1,20 mètre de profondeur. Le fluide caloporteur passe dans ces tubes et saisit la chaleur du sol à faible profondeur. Pour cette installation, vous devez posséder un terrain dont le champ représente au minimum 1,5 à 2 fois la surface habitable à chauffer de votre logement.
• Le captage à la vertical est la solution favorisée pour la transformation car elle enraye et démoli une grande partie du terrain et elle est obligatoire si votre terrain est petit. Grâce à un examen, les capteurs sont installés à une profondeur allant de 80 à 100 mètres. Plus inabordables, ce système est en conséquence plus active, surtout en durée hivernale puisque la terre va amplement moins se refroidir en profondeur.
  
• L’interception sur eau d’étendue consiste à placer des capteurs dans un ou plusieurs puits forés à moins de 100m de profondeur aussi d’utiliser la chaleur contenue dans l’eau de nappes. Il est possible d’exécuter un ou deux forages. Dans le premier cas, l’eau qui est tractée est restituée dans un cours d’eau ou un réseau d’eaux de pluie. Dans le deuxième cas, on perfore un deuxième trou pour y rejeter l’eau utilisée par la pompe à chaleur. Ce deuxième système est plus écologique et protège la nappe.